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Phoebe Lea Parker - « Il n'y a pas de secret mieux gardé que ceux que l'on devine. »

 :: Archives :: ARCHIVES SAISON 01 :: Archives générales
Lun 26 Mai - 21:34

Phoebe Lea Parker

« One of the hardest thing is the feeling you're gonna forget everything... » Lea Michele

J'ai 19 ans ; je suis né le 18 décembre à New York. Je suis hétérosexuelle et célibataire. Mon boulot c'est d'être chanteuse et vendeuse dans une boutique de CD. J'fais partie du groupe Werewolves. Je suis un inventé.

Que vous dire ? Si j'ai un jour été une petite fille facilement en proie à ses émotions, je ne le suis très certainement plus depuis l'âge de treize ans. Ou du moins, c'est ce qui semble être, et ce qui est à la fois. Pour tout vous avouer, mon caractère est composé de contraires et d'ambiguïtés. J'ai toujours été, et je suis encore, quelqu'un d'extrêmement ambitieux, ambition qui n'a prit que plus d'ampleur au fil des années, car c'est aujourd'hui la seule chose qui me reste. Je suis une jeune femme déterminée, et les événements m'ont poussés à cacher mes émotions. Je ne suis pas comme les autres. Plus maintenant. Lorsque l'on me voit, c'est à un masque de dureté et de froideur que l'on se heurte. Dû à cela, certains me craignent, d'autres me prennent de haut, d'autres encore cherchent à me connaitre, à savoir ce que je cache, qui est la véritable Phoebe. En réalité, je ne suis pas si dénuée de toute émotions, loin de là. Je crois même que j'en ressens bien plus que n'importe qui d'autre : pour preuve, je ne me suis jamais remise de la mort de mes parents. Avec le temps, j'aurais dû être apte à passer à autre chose, et pourtant aujourd'hui encore je ressens la douleur aussi durement que si cela venait tout juste de se produire. Je ne suis pas sans émotions, et pourtant lorsque je suis énervée, je peux devenir plus cruelle qu'un tueur en série, et rien, pas même les cris ou les supplications ne peuvent me donner pitié. Je vous rassure, je n'arrive à ce stade de fureur que lorsque quelqu'un le mérite réellement. Je peux également me montrer sans coeur lorsque je suis énervée à un stade moins fort que celui que je viens de vous décrire, mais c'est moins pire tout de même. Je sais ce que vous pensez. Que je suis folle, juste bonne à interner. Et si ce n'était pas le cas ? Tout le monde pense cela, et pourtant. Je ne suis pas si différente de vous. J'ai juste choisi de ne répondre qu'à mes propres règles. Je suis une jeune femme forte et indépendante, et je ne crains plus de mourir depuis la perte de mes parents. Au contraire, je traque la mort, et je l'affronte lorsque l'opportunité m'en est donné. Je n'ai plus peur de rien ni de personne dorénavant. Et c'est ce qui me donne du courage, c'est ce qui me permet d'affronter toutes les situations, les pires comme les meilleures. Peu importe si je risque ma vie, elle ne vaut plus rien. Pas plus pour moi que pour les gens qui me connaissent. Morte, je ne manquerais à personne, les gens danseraient sur ma tombe et déboucheraient une bonne bouteille de champagne. Et moi... moi je pourrais enfin retrouver mes parents. Tout le monde y trouverait son compte, vous ne pensez pas ? Non je ne suis pas folle. J'aime à être mystérieuse, et je fais tout pour être aussi libre que possible. Mais folle... ça non. Des fous, des vrais, vous en croisez tous les jours, sans même le savoir. Un voisin, un ami, un collègue. Parfois même un parent. Qui sait quelle est leur vie ? Et pourtant vous pensez les connaitre, que ce soit leur caractère, leurs goûts, leur style vestimentaire, leur manière d'agir, de faire. Mais une personne telle que moi, qui cache qui elle est réellement, est de suite suspecte à vos yeux. Il vous faut à tout prix savoir ce qui se cache. Seulement voilà, je mens aussi bien que je respire, il vous sera impossible de savoir si je mens ou pas. Tout le monde a un tic, un petit quelque chose qui vous trahis quand vous mentez. Moi je peux vous regarder droit dans les yeux, et vous débiter un mensonge si sincère que vous ne pourrez que vous prendre au piège. Sans compter que... mes secrets sont bien gardés. Car à moins d'avoir la faculté de lire dans les pensées, rien ne vous permettra jamais de découvrir la vérité. Que dire d'autre ? Je prétend constamment aller bien, même si c'est totalement faux. Je pourrais encore saigner de partout que je serais capable de vous dire que tout va bien, que je n'ai pas besoin d'aide. Car oui, je déteste qu'on tente de m'aider. Et pas parce que je prend cela pour de la pitié, ça non. Simplement parce que se faire aider de quelqu'un, c'est être dépendant de cette personne. Or ça... je le refuse. Je suis libre. Rien ni personne ne pourra changer qui je suis, et m'ôter cette liberté pour laquelle je me bat. Je suis également incapable de dire " je t'aime " à quelqu'un. Peut-être par... peur. Je ne sais pas au fond. Ce sont les derniers mots que j'ai dis à ma mère avant qu'elle ne meure. Je lui ai dis ces trois petits mots, et une seconde plus tard elle rendait son dernier souffle. Alors peut-être que j'ai peur de perdre cette personne, tout comme j'avais perdu ma mère, si je les prononce. Ou peut-être est-ce tout simplement parce que cela me rappelle de manière encore plus forte ce moment. Aussi, lorsque quelqu'un me dit qu'il m'aime, je ne peux que répondre " moi aussi " ou " c'est réciproque ". Heureusement, je n'ai pas tant de personne que cela qui me disent qu'ils m'aiment, je pourrais même dire qu'il n'y a personne. Et le pire de l'affaire, c'est que personne ne s'en rend compte. Marrant non ? Tant qu'on est dans ce registre, je suis incapable de trouver les mots qu'il faut pour venir en aide à quelqu'un. Du moins je le crois. J'ai toujours la sensation que... j'empire les choses. Ou que je les formule de manière maladroite. Sans doute parce que j'ai tant l'habitude de refouler mes propres sentiments que je suis incapable d'aider les autres avec les leurs. Et pour finir, je ne peux que vous dire que je suis une battante. En gros, c'est moi. Je me doute que j'en oublie sans doute, mais vous savez quoi ? Vous verrez bien plus tard !

caractère

Pseudo Drachel. Age 19 ans. Comment as-tu connu le forum Via la fonda ! Qu'en penses-tu  ? Il est tout beau tout neuf ! *w* Ta présence ici Autant que possible. Un dernier mot pour la fin? I'LL FLY, I'LL FLY, I'LL FLY LIKE A CANNONBALL.  



Votre histoire

Je m'appelle Phoebe Parker. Je suis née à New York, dans le Queens lors d'une belle soirée de décembre, et j'ai grandis là bas. Depuis que je suis petite, j'ai toujours su ce que je voulais être, ce pour quoi j'étais réellement faite. Broadway. Probablement tenais-je cela de mes parents, ma mère avait une voix fabuleuse, voix qu'elle n'a jamais pu dévoiler au reste du monde, et mon père était très bon pianiste, même si ce n'était pas vraiment sa profession ( il était avocat ). Pour tout avouer, tout à commencé lorsque j'avais cinq ans et que j'ai vu pour la première fois Funny Girl, la plus célèbre comédie musicale de Barbra Streisand. A ce moment là j'ai su : je voulais être comme elle. J'étais déjà envoûtée par le pouvoir de Barbra, et c'est ce qui m'a toujours poussée à suivre mon rêve. Mais à cinq ans, personne ne peut croire une petite fille. Même moi je ne me serais probablement pas cru... J'ai demandé à prendre des cours de danse et de chant, et mes parents ont acceptés, assez heureux de voir que je m'ouvrais au monde au lieu de rester chez moi comme un oiseau apeuré. Ces heures que je passais aux cours étaient magiques ; c'était ma porte d'entrée dans le show-business. Ma prof me disait que j'étais une mini Margot Fonteyn, elle m'a apprit le pouvoir de la musique et bien que ce studio de danse était juste un endroit assez vieux et moisi, pour moi c'était le plus bel endroit sur la Terre. Les années ont passées et j'ai continué la danse classique, ainsi que le chant évidemment. Mon amour pour Barbra et son talent grandissait un peu plus, elle était devenue mon idole. Mais lorsque je faisais part de cette passion et de ce désir de devenir comme elle, mes parents ne me prenaient pas au sérieux, pensant que je comprendrais que le chant et la danse étaient plus distraction plus qu'un métier, parce qu'ils savaient d'expérience que le métier d'artiste est loin d'être stable. Alors que moi... et bien, je ne me voyais pas faire autre chose de ma vie. Impossible. Les chansons me touchaient toutes au plus profond de moi, et j'avais ce besoin de les faire ressentir à mon tour en les interprétant. Cela faisait partie intégrante de moi. Me l'enlever, c'était retirer mon essence même, ce qui faisait de moi qui j'étais. J'admet que souvent, je leur en ais voulu de ne pas me croire, de ne pas m'encourager. Malgré tout, je les aimais... c'est normal. Je suis entrée au collège, où je n'étais pas vraiment très appréciée, mais cela m'importait peu, je n'ai jamais prit garde à l'opinion des gens à mon égard. Cela n'en valait pas la peine. Il y aura toujours des gens prêt à ternir votre image, des gens trop bête ou trop jaloux pour supporter que vous soyez meilleur qu'eux. Or j'étais meilleure qu'eux, par bien des côtés.
Et puis j'ai eu treize ans... Cela faisait bien une semaine, et nous étions à la veille de Noël. Nous avions passé une bonne partie de la journée à nous amuser dehors, exploitant les festivités proposées par Los Angeles. C'était assez cool, on était tous les trois, on faisait les fous, on chantait, jouait, riait, en bref, une superbe journée. Arrivés en fin d'après midi, nous avions décidé qu'il était temps de rentrer chez nous, ce que nous fîmes du reste. Mais durant le trajet en voiture, un camion sortis de nulle part et nous rentra dedans. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Comment j'ai été éjectée de la voiture, tout ça. Tout ce que je sais, c'est que je me suis retrouvée à quelques mètres de la voiture qui avait commencé à prendre feu. Je voulais crier, je ne pouvais pas. Je voulais me relever... aucun membre ne me répondait. Je ne pouvais que contempler, de là où j'étais, face contre terre. J'avais mal, j'avais peur, je paniquais. Puis le noir total.
Lorsque je revins à moi, j'étais à l'hospital. Sur le coup, je ne compris pas pourquoi j'étais ici, mais bien vite, les derniers souvenirs refirent surface. De nouveau, je paniquais, le moniteur à côté de moi en attesta, les bip réguliers s'étaient soudainement affolés, en même temps que mon coeur. Alertés, des infirmières se précipitèrent dans ma chambre, tandis que je les suppliais de me renseigner sur mes parents. Peine perdue... une bonne dose de calmants et je tombais comme une masse. Un peu plus tard, lorsque je m'éveillais de nouveau, j'étais encore un peu hagarde, mais je me souvenais suffisamment bien de ce qui s'était passé précédemment, aussi avais-je arraché tout fil et toute aiguille pouvant être relié(e) à moi, non sans difficulté et non sans me faire mal. Je suis finalement tombée sur une infirmière qui a accepté de me conduire à ma mère. Il était trop tard, j'aurais dû être là bien avant et je n'étais là que maintenant, sur ses tout derniers instants. Mes dernières paroles furent " Je t'aime ". En général, on fait extrêmement attention aux dernières paroles que l'on a adressé au défunt, du moins lorsque cette personne était quelqu'un que l'on aimait. Parfois nous regrettons nos derniers mots, parfois on se console en se disant qu'au moins il ou elle est partit en emportant un mot gentil. Moi... je ne me suis jamais inquiétée de cela. Peu importe mes derniers mots, ce n'est pas ce qui me la ramène. Toutefois depuis, je suis incapable de prononcer à haute voix ces trois petits mots que certains ressentent pourtant tant le besoin d'entendre. Par peur sans doute... peur de perdre cette personne également. Qu'importe la manière. Moi je l'avais dis à ma mère et la seconde qui suivait, elle avait rendu l'âme. Qui me dit que je ne perdrais pas aussi quelqu'un d'autre rien qu'en lui disant ces mots ? Enfin... j'ai toujours pensé que c'était pour cette raison que je faisais un blocage. Peut-être y a-t-il une autre raison. Je ne sais pas... parfois je reste un mystère pour moi même... Bref. Suite à cela, on m'a envoyé chez ma grand mère. J'y suis resté... une à deux semaines, mais finalement, le juge, jugeant que vu la situation présente, ce serait plus à moi de m'occuper d'elle que l'inverse, a décidé de m'envoyer chez ma tante. Apparemment, j'avais besoin qu'on s'occupe de moi. Sans doute mon comportement le laissait-il supposer, mais ce n'était pas le cas, loin de là. Enfin j'essayais de m'en convaincre, et ça marchait plutôt bien. J'ai donc été envoyée à Beacon Hills, en Californie. Super n'est-ce pas, quand on pense que mon rêve se trouvait à Broadway, et que Broadway se trouve à New York, soit à 3940.14 km d'où je devais vivre !
J'aimais ma tante, ne vous méprenez pas. Toutefois... c'était trop dur de vivre dans ce monde sans mes parents alors que j'avais vraiment besoin d'eux. Comme tout enfant. Aussi, peu après m'être installée chez ma tante, j'avais conclus un marché avec un dealer. Ce monde n'était pas le mien. J'aurais dû mourir dans cet accident, et j'avais survécu. Ce n'était pas une chance contrairement à ce qu'avaient dit les médecins. Ces fractures à mon poignet et à ma jambe n'étaient pas des miracles, mêmes compte tenu de la situation. Je vivais. Or j'aurais dû mourir. Tout simplement. Je ne serais plus un point pour personne, et encore moins pour moi même. J'avais donc retrouvé mon dealer dans une ruelle où nous avions fait l'échange. DU GHB, aussi appelé la drogue du violeur. Il suffisait d'en prendre un peu trop et je mourrais. Et effectivement, il en a fallu de peu. Vraiment peu. Mais j'ai simplement fini dans le coma, un coma dont je ne voulais même pas trouver la sortie. Seulement voyez vous, j'accepte de mourir. Ou de rester bloquée dans un coma. Mais pas sans me battre. Je ne veux pas juste accepter les faits, je veux savoir que j'ai fais ce que j'ai pu. Et donc, malgré ma non envie de sortir de cet état, j'ai trouvé la sortie... malheureusement. Au passage, j'ai compris que j'avais vraiment peur des hospitaux... pas vraiment étonnant vu les circonstances. Selon le médecin, j'ai été cliniquement morte, durant une dizaine de secondes. Cliniquement morte... Quelle ironie.
A mon réveil, il n'y avait personne à mon chevet, le docteur et ma tante se trouvaient dehors. Sans qu'ils le sachent, je me suis levée et les ais écoutés. Le médecin lui suggérait de me faire entrer en psychiatrie quelques temps, puisque visiblement, je n'étais pas stable. J'ai vite comprit que l'assistante sociale était là aussi, puisqu'elle approuvait ledit médecin, ajoutant que ma tante était sans doute pour responsable de ce qui se passait maintenant. Je n'en revenais pas. Ils faisaient plus de recherche sur quelqu'un qui faisait partie de ma famille que sur des gens demandant le statut de famille d'accueil ! Je commençais à craindre que ma tante n'accepte, mais ce ne fut pas le cas. Elle les rembarra, refusant de me faire interner. De toute manière, une fois qu'on entre là bas, on n'en ressort plus. C'est comme la psychanalyse : la moindre chose que vous dites ou que vous faites est analysée et fini par sortir de son contexte. Si vous n'êtes pas déjà fous en y entrant, vous le devenez. Si vous l'êtes déjà... n'espérez pas trop une amélioration. Enfin, passons.
Lorsque je suis rentré chez ma tante, j'avais promis de ne plus jamais tenter de me suicider. Pas seulement parce qu'aucune de nous ne voulait me voir finir avec des gens que je ne connaissais pas et que je ne pourrais jamais supporter, mais aussi parce que j'avais bien vu à quel point cela avait fait mal à ma tante. J'avais cru que seul moi souffrirait, et je m'étais trompée. Toutefois, une chose était certaine : j'avais changé. J'étais devenue plus forte et d'apparence, je semblais être dénuée de toute émotions humaine. Avec le temps je suis devenue meilleure à ce jeu, c'est normal. Mais j'avais déjà décidé une chose : je serais différente. Je ne ressemblerais en rien aux gens de cette ville, et personne ne saurait comment m'atteindre. Le soir, je sortais seule, pour marcher au bon air de la nuit. Avant j'aurais eut peur, mais depuis tout ce qui s'était passé, ce n'était plus le cas. On a peur lorsque l'on sait que l'on a quelque chose à perdre, or moi... je n'avais plus rien à perdre. Pas même ma vie. C'est d'ailleurs cela qui m'a toujours rendue plus forte, le fait que je n'avais plus peur. Pourquoi ne pas rester tranquillement dans mon lit ? Parce que je ne pouvais pas. A peine fermais-je les yeux que les images de notre accident me revenait en mémoire, et ce n'était guère mieux lorsque je parvenais à m'endormir.
C'est lors d'une de mes petites escapades nocturnes que je me suis fais mordre par un loup - un Alpha évidemment. J'avais quinze ou seize ans, je ne sais plus... quoi qu'il en soit, un imbécile heureux de loup m'a transformée, comme si ma vie n'était pas déjà suffisamment merdique comme ça ! Mais je ne sais pas ce qui est le pire... que j'ai été transformée, ou que l'on me sorte que " la morsure est un cadeau " ? Je ne sais pas, mais je dois vous avouez que lorsqu'on m'a sorti cette stupidité, la personne en question a failli s'en prendre plein la tête ! C'est ce qui se serait passé d'ailleurs... si ladite personne n'avait pas été l'Alpha et par conséquent, le plus fort. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas que quelqu'un me soit supérieur, parce que cela signifie que je suis faible, et que quelqu'un en ce monde peut avoir le contrôle sur moi. C'est pour cela que je ne me joins pas à un meute. Je suis libre. Je compte le rester. Mais je ne vous ai pas dis le plus beau ! Ma tante, comme toute ma famille d'ailleurs, est une chasseuse de loup. Ahah, ironie, quand tu nous tient... Pourtant, elle a bien accepté le fait que je sois un loup, et n'a pas tenté de me tuer... un bon point je présume !
Quoi qu'il en soit le temps à passé, et je suis devenue meilleure, que ce soit pour cacher mes émotions ou mentir ou même contrôler mes pouvoirs de louve. Puis je suis entrée au lycée et enfin, je suis entrée à l'université. Et je suis resté dans cette ville. Allez savoir pourquoi... mais je ne compte pas y rester plus longtemps de toute manière. Et maintenant ? Et bien je continue, je m'accroche et... je survis.


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