isaac lahey
« ▬ alors, est-ce-que faire le tour du monde t’as convaincu ?
de ?
▬ et bah de tout recommencer !
non. juste que ma place était ici et pas ailleurs.
▬ pourquoi ?
ma famille. elle est là.
▬ et les gens qui veulent vous tuer ?
oh ça… on improvise. »
caractère
fiche by vintage love.prénom nom
naissance: en 1994 à beacon hills (floride)
nationalité: américain
groupe: werewolf
avatar: ft. daniel sharman
vous n’étiez pas un enfant facile et vous n’étiez pas meilleur adolescent. violent. instable. puis d’un coup faiblard, inexistant, fugueur, le silence en une seule et unique âme. et que vous-ont-ils fait lahey. qu’avez-vous appris, depuis la dernière fois ?
la dernière fois, est-ce-que tu veux y revenir. l’époque où tu n’étais qu’une pauvre chose sans défense qui se remuait dans la perte d’une famille ordinaire, tournée suicidaire.
...solitaire. indéniablement solitaire. plus à l’aise dans l’isolement, plus sincère dans l’intimité… isaac n’est pas le plus sociable des loups-garou, mais il va en s’améliorant. on le décrit comme ayant un bon esprit d’équipe et depuis son départ, on a fait qu’attendre de ses nouvelles, s’attendant tous à ce que, soudainement il débarque d’une caverne, tout fier avec les griffes polies mais… isaac est propre à lui même, il ne condamne personne à s’occuper de lui, il se l’interdit. il a pris le temps d’attendre, il a grandi, il est devenu le jeune homme qu’il espérait devenir, pas juste la bête immense qu’on lui avait permis de maîtriser. cependant il n’oublie pas.
isaac a du mal à parler de son impulsivité, il sait qu’il peut perdre le contrôle de ses instincts mais est aussi rattaché à la colère quand il s’agit de se transformer. il tente de se canaliser du mieux qu’il peut et c’est d’ailleurs plus facile depuis que chris l’aide à se contenir.
il a de la reconnaissance pour son ancienne meute, et il a pardonné derek depuis longtemps. il est toujours aussi peu “spirituel” que trois ans avant. il est cynique, mais plus adroit. il sait être un bon beta. il sait faire partie de la société en tant que isaac lahey et à part cela, on ne sait pas franchement comment il va…
sans doute plus prêt à être isaac que jamais… oh il aime toujours autant les écharpes et la cuisine de melissa. (je pense que c’est un détail plutôt important) si en revanche il vous lance un regard désobligeant, c’est parce qu’il est en pleine réflexion personnelle… étrange mais, il a l’air un minimum approchable… aujourd’hui.
histoire
excuse...excuse-moi, qu’est-ce-que tu veux que je fasse ? ▬ je veux que tu la fermes. ▬ je veux que tu la fermes. la fermer. la fermer. qu’est-ce-que je peux faire ?! je peux pas le faire maintenant. j’y arrive pas. j’y arrive pas. je peux pas. je peux pas. je peux pas y arriver, j’y arrive pas. ▬ prends-les. ▬ q-quoi les chaînes ? ▬ prends les chaînes, rentre, j’ai dit, rentre. est-ce-que tu entends fils ?! rentre dans le foutu congélo ! rentre.éventuellement, une fois qu’il n’en pouvait plus, que ses ongles se repliaient entre le sang et la chair parce que tout humain avait ses limites, il enfouissait sa tête dans son cou, se tenait la main avec l’autre qui battait comme un cœur à vif, arrêtait de hurler. et la brûlure remontait dans sa gorge, parce qu’il avait tant voulu se faire entendre par quelqu’un d’autre que lui, il avait essayé. essayé de se faire entendre, essayé de s’améliorer, essayé d’avoir une bonne place en lacrosse, essayé de l’aimer, essayé d’accepter les coups. mais jamais ça n’était arrivé. tout ça, tout ce qui lui arrivait, ça n’avait rien d’humain. tout ce qu’il tentait de soutenir du haut de ses quinze ans, toutes échappées refoulées dans des semi-vérités, toutes ses tentatives de ne pas le décevoir…lui. c’était qu’un échec. ce n’était qu’un enchaînement, une immense perte, un commun accord avec le destin pour le laisser dans son putain de congélo. parfois, il se demandait…
est-ce-que je vais y arriver papa ? est-ce-que je vais enfin obtenir… ne serait-ce qu’un bout de ta personne ?
depuis que camden est mort, la maison n’est plus qu’une cage à oiseaux. c’est le dernier endroit où tu voudrais être, isaac. ça pue l’alcool tous les deux mètres, infect. t’essaies de relativiser. toi, t’as seize ans, tu penses que c’est le chagrin.
t’as seize ans et tu tombes en plein service dans la tombe d’une argent a qui t’as rien demandé, sinon qu’elle bouscule ta pelleteuse. tu paniques, t’es qu’un petit humain. encore une fois, on veut te foutre aux archives, te mettre à la cave, t’enfermer avec le passé, t’enterrer avec des morts qu’existent pas.
ce soir-là, tu t’es bien demandé qui t’abandonnais six pieds sous terre, mais si t’avais pu être là le jour de l’adieu familial, au lieu de mentir au shérif stilinski, t’aurais bien vu que kate argent était pas sur ses coussins de princesse. elle était loin, mais toi tu connaissais qu’un homme, vraiment. ton père. et il aurait pu t’inspirer tellement. la fierté, l’amour, le temps, le monde, les gens, la vie. ta vie. ta vie c’est quoi isaac ? t’as dix-sept ans et tu passes déjà un pacte avec hale. non mais franchement, qui écoute encore derek hale ?
derek est bien le genre à te sortir d’une tombe, à t’attraper par le col et à te poser près d’une autre que t’aurais installée la veille. bien entendu tu te tais, tu le laisses déblatérer sur le cadeau qu’il peut te donner et te laisser, quitte à changer ta vie en entier, à rien faire traîner derrière, même pas ton père. les poils de ton bras de faible se soulèvent, tu abaisses la main qui était en train de récupérer un peu de sang séché sur ton front, tu t’étrangles avec ta salive et le considère de de toute sa carrure. il a les épaules d’un géant mais la prestance d’un roi déchu. tu as l’impression de retourner à tes premiers livres, là où les méchants étaient habillés en noir et les bons en blanc immaculé. et tu ne sais pas pour quelle stupide raison, à quel inconcevable moment tu lui as serré la main pour qu’il avance la gueule vers toi, le nez tordu d’un monstre et te plante des crocs dans les muscles.
tu te souviens avoir supplié à la dernière seconde de la vie qui n’était pas la tienne; et puis ensuite tu avais dix-huit ans. ton père était mort. mort, creuvé, écrasé sous les tonnes de remords qu’il n’aura finalement pas eu. cruel, hein. il a fini dans un cimetière, c’est un peu tragique, pour un père, d’y plonger avant son gosse, mais qu’est-ce-que tu veux faire.
erica et boyd; tes deux nouveaux meilleurs amis, pas trop à te plaindre, à part un temps d’adaptation qui a valu à peter hale de sortir de sous le manoir, il y a du progrès.
lahey. lahey tu reviens sur le terrain de lacrosse et finstock est un gros malade qui saute devant les bancs d’essai comme si un miracle allait s’accomplir ce soir-là, t’es enthousiaste, tu cours à côté de scott, stiles se ramasse, se relève, c’est ça ta vie, maintenant ? vraiment ? vraiment c’est ce que tu voulais ? est-ce-qu’on doit rembobiner, revenir au moment où derek te vire de chez lui - t’es plus utile, lahey, t’es qu’un gosse sur le trottoir - et tu fais quoi, t’as que les alphas pour te servir de guides ? mais c’est faible lahey, c’est répugnant. souviens-toi, les assiettes à la gueule, c’était tellement mieux. -
▬ je n’ai plus personne alors… ▬ parce que je te fais confiance. ▬ je peux essayer. ▬ ton père t’enfermais ici pour te punir… isaac. [...] ▬ et… tu viens de prendre un peu de sa douleur. moi aussi j’ai pleuré la première fois.pour la première fois, il su ce qu’était avoir une famille. on ne lui avait jamais vraiment expliqué. il ne se doutait pas que ça commençait avec une attaque contre un homme à moité lézard (qui s’avérerait être son voisin contrôlé par un élève psychotique) et il ne pensait pas non plus tomber amoureux de la fille qui l’avait transpercé avec des poignards japonais. oh et puis il attendait encore moins de loger chez le capitaine de l’équipe de lacrosse - qui était aussi l’ex petit-ami de la fille qu’il espérait voir l’aimer un jour - et puis elle l’avait aimé.
pour une certaine raison qu’on expliquera pas ici, ça ne le soulageait pas. avoir allison argent à ses côtés.... non, non ce n’était pas ça. le problème c’était lui. c’était isaac lahey. qui était isaac lahey. qui était enfermé dans le sous-sol de sa propre maison, qui était humain parce qu’on avait choisi de le mettre ici, au milieu de son ridicule chaos. et pouf. dix-neuf ans, plus d’isaac lahey. si chris argent ne partait pas avec allison, alors il partirait avec lui.
▬ comment est-ce-que vous faites ça ? ▬ comment est-ce-que j’encaisse ? ca fait partie de notre code. si on n’arrive pas à se protéger, comment les protéger eux ? ▬ je ne sais pas faire ça… je sais pas… ▬ isaac. ça viendra. la vérité isaac, c’est qu’on nait pas mauvais, on le devient. et tu n’es pas une mauvaise personne. non tu es dans l’entre-deux, encore. tu comprends isaac. t’as le temps, t’as le temps de tomber et t’as le temps de voir et t’as le temps d’aller mieux. et je sais, tu sais, tu l’aimes encore.
t’as pas à le crier, pas tout de suite, c’est pas ton rôle. non. trouve d’abord qui est isaac lahey.
▬ eh. gamin. ouais. tu comptes aller où comme ça, on dirait que t’es sur la route depuis un bout ? ▬ je retourne à la maison. ▬ et ça s’appelle comment chez toi… isaac ? ▬ beacon hills. le conté le plus allumé de la californie. ▬ ça doit être quelque chose alors. ▬ ouais. c’est chez moi. votre futur
le futur ? attendez, il débarque à peine à beacon hills. c’est un sans domicile fixe qui va se faire retourner les oreilles par scott, et si il survit, on verra ensuite
.
- Spoiler:
"epouser
scott mccall mon sauveur allison
"
références
pseudo/prénom: bambou hinhin.
✧ âge: l’âge ta grand-mère divisé par le poids de ton oncle multiplié par la racine carrée de l'hypoténuse du chien de… oh laisse tomber.
✧ fréquence de connexion: 168mb/s je sais pas ce à quoi ça équivaut *replace ses lunettes*
✧ avatar: dede. daniel sharman par hum. moi.
✧ ce personnage est: un poste vacant qui méritait d’être joué ‘^’
✧ où nous avez-vous connu? je vous connais depuis toujours
✧ le mot de la fin: plotwist : scott et isaac s’enfuient pour se marier à las vegas !!!
| | scott mccall | 22 ans | werewolf | futur époux *suite à leur relation dramatiquement amoureuse, isaac et scott mccall-lahey se firent, après huit minutes d’union légale tuer par allison argent, rose argent (et aussi le méchant-faux-scott qui se marrait dans le fond de la chapelle) - mais ils s’aimaient -
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